Letra de ' Bavards ' de Sergio Umbria

Aujourd'hui, je veux dédier cette chanson aux inventeurs et non
De la science ou de la technologie aux inventeurs classiques de
Les commérages, qui découvrent et exagèrent toujours ce qu'ils entendent
Et ce qui n'est pas arrivé, il tient pour acquis que c'est déjà arrivé

Ce sont des gens sans métier, qui aiment se mêler de la vie des autres
Mais ils n'essayent pas de corriger les leurs, ils critiquent les enfants des autres
Mais il ne corrige pas les siens, qui sont parfois bien perdus
Ils vivent en attendant le mari du voisin et ne se rendent pas compte que leur maison
Il est détruit, ils inventent des amants pour le voisin, et ils ne sont pas
Vous pouvez compter car il y en a beaucoup

Aujourd'hui, je veux dédier cette chanson aux inventeurs et non
De la science ou de la technologie aux inventeurs classiques de
Les commérages, qui découvrent et exagèrent toujours ce qu'ils entendent
Et ce qui n'est pas arrivé, il tient pour acquis que c'est déjà arrivé

Ils entrent dans la vie de tout le monde, mais ils n'aiment pas ça quand ils entrent dans celle des autres
Eux, mais qui entrent dans leur vie si ce sont des vies vides, parce qu'ils sont
Avec une très faible estime d'eux-mêmes, ils aiment attirer l'attention, ce qui est caractéristique des
Ces gens savent tout, ce sont des professeurs qui inventent des histoires
Ne les servez pas, car cela leur cause des ennuis sans s'en rendre compte

Aujourd'hui, je veux dédier cette chanson aux inventeurs et non
De la science ou de la technologie aux inventeurs classiques de
Les commérages, qui découvrent et exagèrent toujours ce qu'ils entendent
Et ce qui n'est pas arrivé, il tient pour acquis que c'est déjà arrivé